Depuis septembre dernier, Interligne a reçu plusieurs dons spontanés de la part d’entreprises et de particuliers. Des collectes de fonds par les tiers ont également été organisées au bénéfice de l’organisme. Si l’appui de la population est confirmé, l’enjeu initial demeure : sans financement récurrent, le service de nuit devra fermer ses portes. Le 18 novembre prochain, un conseiller politique du cabinet du ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux rencontrera le directeur général d’Interligne pour discuter de la situation.